Cette année je m’y mets…

… au footing, à la cuisine vegan, à la guitare, à apprendre à dire non, au lindy hop, à marcher sur les mains, à la méditation etc. etc.

Sur les premières idées, je n’ai (presque) rien à dire, mais sur la méditation, voici quelques pistes qui permettent de se lancer dans la pratique, ou se relancer si :  » je ne trouve pas le temps », « je n’y arrive pas », « j’ai envie mais ce n’est pas pour moi » etc. etc.

D’abord se demander « pourquoi j’ai envie de méditer ? ». Éventuellement noter ses raisons pour pouvoir y revenir quand la motivation manque (sur la question du pourquoi retrouver un court article). Puis définir ce qui semble envisageable dans son quotidien : s’accorder 10′, 15′, 20′, plus par jour ? en démarrant doucement ( » qui va loin ménage sa monture ! »). Ensuite, choisir le moment qui semble le plus propice : le matin ? à la pause du midi ? en fin de journée ? le soir avant le coucher ? Enfin, le programmer dans son quotidien.

Programmer quoi ??? Un temps en immobilité et en silence à méditer. Avec éventuellement un temps au préalable de mouvements, d’étirements, de danse libre, d’auto-massages, une pratique corporelle qui me permet de plonger dans son corps et ses sensations. En y ajoutant également pourquoi pas une pratique du souffle.

Et puis ? Hé bien s’y mettre ! S’installer dans son espace (un article pratique sur la question du matériel et de l’espace) et pratiquer.

Si un jour la tentation est grande d’annuler, se poser des questions du type : qu’est-ce qui est si urgent qui ne peut pas attendre 10′ ? Quelles autres activités se présentent comme plus urgentes ? Tellement urgentes qu’elles ne peuvent attendre 10′ ?
Si les réponses qui viennent confirment l’envie d’annuler, alors annuler (ou reporter), et ce sans se juger. Avec douceur et patience reprendre la pratique quand ce sera bon pour soi. 

Régulièrement après la pratique, se remercier soi-même, se féliciter d’avoir pu accomplir cette pause.

En plus de cette pratique formelle, identifier certains moments de la journée qui pourraient être propices à explorer la pleine présence : en marchant, en mangeant, dans le bus ou le métro, sous la douche, etc. Et ponctuer sa journée, de PPPP Petites Pauses en Pleine Présence !

Enfin, régulièrement s’offrir un cadre de soutien : rejoindre une pratique collective hebdomadaire, construire ou faire évoluer sa routine quotidienne grâce à un accompagnement individuel, participer ponctuellement à des stages, faire une retraite…

Au plaisir de méditer à vos côtés,


Auteure : Tatiana Raitif, accompagnatrice en méditation, yoga et pratiques somatiques de Corpus Vitae, partenaire d’Orezen.

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