Se nourrir d’optimisme

Pourquoi parler d’optimisme sur un site dédié au yoga ? En plus d’être l’antidote des temps modernes face à la morosité, l’optimisme est un des cinq points du yoga. Il est lié à la méditation comme alimentation du cerveau et on le retrouve plutôt sous le terme « pensée positive ». Alors il est bon de prendre son temps pour voir si on en consomme assez.

L’impact de l’optimisme sur soi

Nos pensées ont un impact direct sur nous, aussi bien sur notre énergie que sur notre corps. Lorsqu’on pense de façon négative, on a tendance à avoir une baisse d’énergie. Ceux qui pratiquent une activité sportive régulière peuvent probablement témoigner. Un marathonien vit l’épreuve de l’endurance avec son mental. S’il se dit qu’il n’est pas assez bon et qu’il n’y arrivera jamais, il aura peu de chance de finir sa course. Au contraire, s’il a des pensées positives alors il construit sa force et peut booster son énergie. Le site Le meilleur de l’homme explique bien l’impact du mental.

Si la méditation est la nourriture de l’esprit, l’optimisme dite « pensée positive » pourrait être vue comme cet ingrédient secret qui donne un tout autre goût à la vie. De la même manière que l’on préfère manger des choses qui ont une bonne saveur, on peut choisir d’alimenter son cerveau avec ce qui lui fait du bien. Des pensées positives aident à réduire le stress et sont nécessaires à tous ceux qui souhaitent améliorer leur état physique, mental et spirituel.

Est-ce que je « consomme » assez d’optimisme ?

Voilà une question qu’on ne se pose peut-être pas assez ? C’est pourquoi Orezen a invité Laurianne Ploix, fondatrice du journal Tout Va Bien, à témoigner sur le pouvoir de l’optimisme.  Lors de cet atelier, nous avons vu que l’optimisme est une médecine intérieure à cultiver et quelques exercices pratiques à faire pour que le cerveau profite des bienfaits. Pour contacter Laurianne :  toutvabienlejournal @ gmail.com (sans les espaces).

Alors questions : quelles sont les trois choses positives qui sont arrivées dans votre journée ? Si cela semble difficile, il est peut-être l’heure de faire une cure d’optimisme.  Allons un cran au dessus, si vous deviez résumer votre vie avec des adjectifs positifs ? Un cran plus haut : que pensez-vous de la faim dans le monde ?

Le yogi est un pratiquant de l’optimisme. La voie du yoga lui apprend à savourer ce qui se présente à lui, à voir le monde sous l’angle d’un rayon de soleil, à être bienveillant avec lui-même et envers les autres. Il y a une différence à faire entre être optimiste et être TROP optimiste, voire utopiste. Mais rappelons-nous que l’optimisme est nécessaire car avec, on se nourrit d’enthousiasme, que l’optimisme se diffuse et que cela fait bien. « J’ai décidé d’être « optimiste » parce que c’est bon pour la santé  » pour reprendre et modifier la pensée de Voltaire.

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